Vous êtes en charge de la refonte du site web de votre organisation. L’ancien site a déjà été victime d’un piratage. Et cette fois, la DSI vous attend au tournant : exigences de cybersécurité béton, performances irréprochables, disponibilité sans faille.
Moly Richez, CEO & Co-Fondatrice d’Internet 2000
6 août 2025
Alors : comment répondre à ces exigences sans renoncer à la flexibilité d’un CMS comme WordPress ? La réponse : découpler le site - headless - et publier une version statique du site. On vous explique.
WordPress, c’est 43 % du web mondial. Et comme toute technologie populaire, elle attire les hackers. Ce n’est pas le CMS en soi qui est mal conçu, mais sa surface d’attaque est vaste, d’autant qu’on a toujours besoin de multiples plugins.
Dès que votre version de WordPress ou d’un plugin n’est pas à jour, c’est la porte ouverte. Les bots scannent le web en continu, et un site un peu négligé devient une cible facile.
Face à ça, l’approche classique consiste à :
Mais tout ça ne change pas la nature même du problème : votre interface d’administration est toujours en ligne, votre site repose toujours sur un CMS dynamique, et vos failles potentielles sont toujours visibles.
La vraie rupture, c’est de séparer l’admin de la partie visible du site.
Sur le serveur accessible au public on ne sert que des fichiers, aucune base de données ni de langage serveur.
Résultat : la surface d’attaque devient quasi nulle.
Le site est servi avec de simples fichiers statiques.
Chez Internet 2000, on propose aussi cette architecture avec WordPress comme back-office, pour ne pas déstabiliser vos équipes éditoriales. Et parce qu'il est très souple, customizable, auto-hébergeable sur un serveur utilisant des énergies renouvelables par exemple.
Mais ce WordPress-là peut être est caché derrière un firewall, accessible uniquement depuis une IP autorisée - via VPN ou réseau interne.
Cela permet de garder vos habitudes tout en adoptant un niveau de sécurité très au-dessus de la moyenne, et qui ravira le cœur de votre DSI.
Cette architecture coche toutes les cases des DSI :
C’est une stratégie défensive éprouvée, que des groupes comme Le Monde, Groupe Figaro ou Daher utilisent déjà.
Disons plutôt : un site qui ne présente plus de prise pour les hackers.
Et c’est précisément ce que recherchent les services communication qui veulent pouvoir dormir la nuit, tout en respectant les exigences de leurs DSI :)
Et puis bonus : le site peut aussi être éco-conçu en appliquant quelques bonnes pratiques, et ses performances sont au top car la vitesse de chargement des fichiers statiques reste inégalée face à un site traditionnel.
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